Avant de publier une page présentant la série sur La Commune, vous trouverez ci-après la liste des mots du jour concernant ce sujet.
Elle est classée dans l’ordre chronologique.
« Oui [il faut commémorer] Napoléon, Non la commune »
Pierre Nora
« La Commune de 1871 plonge ses racines dans la guerre franco-prussienne.»
Robert Baker
« Ils se levèrent pour la Commune, en écoutant chanter Pottier. Ils faisaient vivre la Commune en écoutant chanter Clément »
Jean Ferrat
« La grande mesure de la Commune, ce fut sa propre existence »
Karl Marx
« On a d’un côté la légende noire des Versaillais pour qui les communards étaient des fous furieux et, de l’autre, la légende rouge pour la gauche qui en fait une récupération politique »
Michel Cordillot
« Malgré toutes les hontes de la Commune, j’aime mieux être avec ces vaincus qu’avec [leurs] vainqueurs. »
Louis Nathaniel Rossel
« Gustave Courbet, la Commune et la destruction de la colonne Vendôme. »
Une histoire du temps de la commune
« Pause (Les écrivains contre la commune)»
Un jour sans mot du jour nouveau
« S’il y a des miséreux dans la société, des gens sans asile, sans vêtements et sans pain, c’est que la société dans laquelle nous vivons est mal organisée. »
Louise Michel
« Pas de révolution sans les femmes »
Carolyn J. Eichner
« Si nous réussissions à transformer radicalement le régime social, la révolution du 18 mars serait la plus efficace de celles qui ont eu lieu jusqu’à présent. »
Léo Frankel
« Tant qu’un homme pourra mourir de faim à la porte d’un palais où tout regorge, il n’y aura rien de stable dans les institutions humaines. »
Eugène Varlin
« La Commune, c’était la joie, la fête : pour la première fois, ils ne sont plus la vile multitude mais enfin des êtres humains, libres, beaucoup vont vivre cette liberté et cette joie jusqu’à se faire tuer. »
Michèle Audin
« Une fois perdus le bon Dieu et les lendemains qui chantent, que reste-t-il ? »
Régis Debray
« La Commune ne se laisse pas réduire à un événement seulement parisien. »
Maurice Moissonnier
« Je suis avec vous ! j’ai cette sombre joie. Ceux qu’on accable, ceux qu’on frappe et qu’on foudroie m’attirent; je me sens leur frère. »
Victor Hugo, « L’année terrible » – « A ceux qu’on foule aux pieds »
«Deux jours avant l’entrée des Versaillais dans Paris, la Commune avait consacré deux heures de son temps à parler de la culture ! »
Jean-Louis Robert
<mot du jour sans numéro>