Mercredi 28 novembre 2012
« Si la décision était entre mes mains, je sais qu’entre ce qu’il faudrait faire et ce que les circonstances me permettraient de faire (souvent presque rien) il y a d’énormes distances.
La France subira, hélas, plus qu’elle ne construira son destin.
Je le regrette, à l’avance. »
La France subira, hélas, plus qu’elle ne construira son destin.
Je le regrette, à l’avance. »
Fernand Braudel
Pour échapper au monde des bisounours, je vous ai relaté, hier, les propos privés et lucides d’un homme politique habile et démagogue qui en public magnifiait la grandeur de la France.
Je complète aujourd’hui par ce commentaire de Fernand Braudel écrit dans les mêmes années 80, dans cet ouvrage de référence qu’est l’Identité de la France et que j’ai eu le plaisir de lire pendant mon hospitalisation, il y a un an.
L’identité de la France Tome 2