Mardi 02 juillet 2013

Mardi 02 juillet 2013
«Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu’ils en chérissent les causes.»
Bossuet
Parole particulièrement appropriée à notre temps et à toutes nos contradictions et souhaits incompatibles…

Le célèbre auteur des sermons et oraisons funèbre s’appelait Jacques-Bénigne Bossuet.

Il est né le 27 septembre 1627 à Dijon et décédé le 12 avril 1704 à Paris.

Il fut aussi membre de l’Académie française..

Il fut un temps lorrain : En 1652, reçu docteur en théologie, il est ordonné prêtre et devient l’archidiacre de Sarrebourg dans le même temps, puis, en 1654, celui de Metz, où il s’installe.

Il fut aussi précepteur du dauphin Louis de France, le fils du roi Louis XIV et de Marie-Thérèse en septembre 1670. Il semble que cette épisode fut difficile pour le maître comme pour l’élève.

En 1681, lorsque l’éducation du dauphin est achevée, il est nommé évêque de Meaux. Et c’est ainsi qu’on lui donnera aussi pour nom l’« Aigle de Meaux ».

La plupart de ses discours improvisés sont perdus. Quelques heures avant de monter en chaire, il médite son texte, jette sur le papier quelques notes et paroles du Christ, quelques passages des Pères de l’Église pour guider sa marche. Quelquefois il dicte rapidement de plus longs morceaux, puis se livre à l’inspiration du moment, et s’étonne de l’impression qu’il produit sur ses auditeurs.

Il ne nous est parvenu que deux cents des quelque cinq ou six cents sermons prononcés, car Bossuet ne les considérait pas comme des œuvres littéraires dignes d’être imprimées. C’est à la fin du XVIIIe siècle que certains sermons furent conservés, grâce au travail de Dom Deforis. Ce ne sont toutefois que des brouillons, alourdis par les ratures et les variantes, et qui ne nous offrent qu’une idée approximative de sa prédication.

Pour en savoir plus, je vous envoie vers <Wikipedia>

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Lundi 01 juillet 2013

Lundi 01 juillet 2013
« L’éducation ne consiste pas à gaver, mais à donner faim. »
Michel Tardy
Comme notre ami et collègue Pierre Tardy vient de commencer son dur labeur de comptable des professionnels. à Villeurbanne, j’ai pensé qu’il était de bon ton de citer une formule très pertinente de Michel Tardy qui doit être un de ses cousins éloignés.